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Consommation énergétique des datacenters : attention aux fausses bonnes idées

Séverine Hanauer •

La question de la consommation énergétique des datacenters est souvent évoquée dans le contexte d’une transformation digitale de l’économie en plein essor. À tel point qu’un certain nombre d’initiatives sont prises pour « rendre le secteur plus green ». Mais les projets ne sont pas si simples à mettre en œuvre et peuvent s’avérer inefficaces.

Datacenters : des technologies au service de la performance

À l’heure de la transformation digitale, la question de la multiplication des datacenters et de leur consommation énergétique, se pose naturellement. Si les besoins en stockage et en traitement se développent en effet de façon exponentielle pour répondre aux enjeux du digital, les technologies d’infrastructure progressent également au niveau du rendement et limitent donc l’impact énergétique des datacenters.

Ainsi, pour des capacités de stockage ou de calcul équivalentes, le volume occupé dans les salles IT se réduit progressivement, nécessitant moins de consommation tant en alimentation électrique qu’en refroidissement. Ce qui est déjà un vrai progrès face à l’accélération des besoins en traitement de données numériques.

Chaleur fatale et refroidissement naturel : un nombre limité de cas

Pour aller plus loin, deux types de solutions sont recherchées par les exploitants :
d’une part l’utilisation de la chaleur dissipée par les équipements (ou « chaleur fatale ») pour chauffer d’autres systèmes ou une zone définie, Et l’utilisation, d’autre part, de sources naturelles froides (nappes phréatiques, mers, etc. ) pour le refroidissement des équipements IT.

De bonnes idées en tant que telles, mais dont la mise en œuvre peut s’avérer complexe, voire réduire à néant les efforts entrepris. C’est par exemple le cas de l’utilisation de la chaleur d’un datacenter pour chauffer une piscine : une excellente idée mais encore faut-il que les 2 soient à proximité.

Et quant à la possibilité de construire les 2 en même temps, il s’agit que les opérateurs puissent s’entendre sur le lieu d’implantation et les agendas d’investissement. Sans compter aussi les contraintes d’implantation d’un datacenter dans une zone d’habitation, et bien sûr l’obtention des permis de construire auprès des collectivités locales. En revanche, de tels projets peuvent rapidement trouver leur intérêt pour chauffer les bureaux lorsque la salle IT se trouve dans le même bâtiment.

L’utilisation de ressources naturelles en eau pour assurer tout ou partie du refroidissement d’un datacenter peut aussi s’avérer particulièrement complexe : sur le plan juridique, environnemental ou encore suivant la localisation. Car en fonction du contexte, les travaux à envisager peuvent annihiler tous les efforts entrepris en matière de réduction d’empreinte carbone (et accessoirement faire s’envoler les coûts globaux de construction du datacenter).

Les bénéfices oubliés du digital (et des datacenters)

Pas question d’être fataliste pour autant : car s’il ne faut pas nier la consommation énergétique des datacenters, la vague de digitalisation actuelle permet la réduction d’utilisation d’autres types de ressources.

Outre la réduction de consommation de papier, déjà largement commentée, la fluidité des communications, notamment en visioconférence, offerte par des réseaux aux débits toujours plus élevés, limitent le nombre de déplacements, permettent le développement du télétravail.

De la même façon, le développement de la télésurveillance, ou encore de la maintenance préventive ou à distance, réduisent eux-aussi les besoins de déplacements.

Quant au développement des technologies smart cities et smart buildings, si elles s’appuient bien évidemment sur des données et donc des datacenters, elles offrent une gestion optimisée et précise de la consommation énergétique bâtimentaire et urbaine particulièrement efficace.

En d’autres termes, s’interroger sur l’efficacité énergétique des datacenters est logique, mais l’analyse doit prendre en compte l’ensemble des données et mesurer un ratio consommations / réductions énergétiques le plus large et donc le plus neutre possible.

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